Le noir est ma couleur tome 1 : Le pari d'Olivier Gay
Vous avez envie d'une lecture Urban Fantasy détente pour l'été mais pas envie de vous lancer dans une saga trop longue ? Alors la série YA le Noir est ma couleur pourrait bien coller pile poil à votre envie. Perso, j'ai beaucoup aimé le premier tome de cette série qui sent bon les souvenirs d'adolescence. Cette série YA a été pour la première fois publiée en 2014, puis les éditions Rageot ont décidé cette année, de lui donner un petit coup de neuf : nouvelles couvertures et nouvelle campagne de promo pour cette série en 5 tomes dont j'avais déjà beaucoup entendu parlé sur le blog Book en Stock.
Je remercie d'ailleurs les éditions Rageot et NetGalley pour m'avoir permis de lire ce tome 1.
Ce livre est ma 4e excursion dans les univers YA d'Olivier Gay et j'y retrouve à chaque fois le même charme qui fleur bon les souvenirs de lycée. Dans ce premier tome de Le Noir est ma couleur, nous rencontrons Manon. Une ado comme tant d'autres : bonne élève, sérieuse... oui, enfin presque, car Manon est une mage, ayant grandit dans une famille où tout le monde est capable d'utiliser la magie, et donc en plus de ses devoirs de lycée, elle s'entraine aussi à maitriser les couleurs.
D'un autre coté, nous suivons également Alexandre, le rebelle beau gosse du lycée. Amateur de boxe, de partie de poker et de glandage au fond de la classe, l'exemple parfait du lycéen qui fait craquer toutes les ados et qui est le cauchemar des parents.
Alors que peu de choses rapprochent les deux ados, ils vont se retrouver inextricablement liés l'un à l'autre dans une histoire qui va rapidement les happer chacun loin de leurs certitudes et de leurs habitudes.
Olivier Gay nous projette dans un univers où les mages se cachent et sont gouvernés par un conseil de la magie. Dans ce monde, la magie est basée sur les couleurs du spectre : jaune, orange, rouge, vert, bleu, violet et blanc, chaque couleur a ses caractéristiques et l'important pour un mage est de savoir toutes les utiliser en fonction des besoins. Car le croque mitaine des mages ce sont les mages noirs et il est crucial pour tout mage de savoir se défendre en cas d'attaque. Jusque là un contexte plutôt classique, même si l’idée de baser la magie sur les couleurs me plait beaucoup et me rappelle, de loin, la série Le porteur de lumière de Brent Week.
Le premier point fort de ce premier tome c'est une ambiance très sympa comme Olivier Gay sait les créer : des personnages qui promettent d'être très attachants, on pourrait avoir peur de la caricature mais non. Des perso débrouillards, intelligents et avec leurs problèmes d'ado, sans chercher à en faire trop. Ils manquent peut être encore un peu de profondeur mais je pense que cela sera combler au fur et à mesure des tomes. L'intrigue est posée de manière efficace et transporte tout de suite le lecteur dans son sillage... ce qui arrive à nous frustrer quand on a atteint les dernières lignes ! Et puis j'aime beaucoup la narration à deux voix qui nous donne le point de vue de chaque perso à tour de rôle, toujours très agréable pour densifier une intrigue.
Le second point fort c'est le tempo. Plus l'histoire se met en place, plus l'intrigue prend forme, plus le rythme est soutenu et moins on arrive à lâcher le livre. Magie, combat, humour et mystère : le cocktail idéal pour un page turner efficace !
Au final, une très bonne lecture avec ce premier tome de Le noir est ma couleur : La pari. Un peu court peut être, on a l'impression que l'histoire vient juste de prendre son rythme de croisière quand on arrive "déjà" au dernier chapitre. Mais avant tout un page turner plein d'humour ! Un premier tome qui met bien en place l'histoire et nous laisse avec une seul envie : lire la suite !
Je remercie d'ailleurs les éditions Rageot et NetGalley pour m'avoir permis de lire ce tome 1.
Normalement, Alexandre le bad boy du lycée n'aurait jamais prêté attention à Manon l'intello du premier rang. Pourtant, à la suite d'un pari il a décidé de la séduire.
Normalement, Manon n'aurais jamais toléré qu'Alexandre vole à son secours. Pourtant, dans l'obscurité d'une ruelle, sa présence s'est révélée décisive.
Alexandre doit se rendre à l'évidence. Rien n'est normal dans cette histoire. Manon acceptera-t-elle qu'il entre par effraction dans son univers?
Ce livre est ma 4e excursion dans les univers YA d'Olivier Gay et j'y retrouve à chaque fois le même charme qui fleur bon les souvenirs de lycée. Dans ce premier tome de Le Noir est ma couleur, nous rencontrons Manon. Une ado comme tant d'autres : bonne élève, sérieuse... oui, enfin presque, car Manon est une mage, ayant grandit dans une famille où tout le monde est capable d'utiliser la magie, et donc en plus de ses devoirs de lycée, elle s'entraine aussi à maitriser les couleurs.
D'un autre coté, nous suivons également Alexandre, le rebelle beau gosse du lycée. Amateur de boxe, de partie de poker et de glandage au fond de la classe, l'exemple parfait du lycéen qui fait craquer toutes les ados et qui est le cauchemar des parents.
Alors que peu de choses rapprochent les deux ados, ils vont se retrouver inextricablement liés l'un à l'autre dans une histoire qui va rapidement les happer chacun loin de leurs certitudes et de leurs habitudes.
Olivier Gay nous projette dans un univers où les mages se cachent et sont gouvernés par un conseil de la magie. Dans ce monde, la magie est basée sur les couleurs du spectre : jaune, orange, rouge, vert, bleu, violet et blanc, chaque couleur a ses caractéristiques et l'important pour un mage est de savoir toutes les utiliser en fonction des besoins. Car le croque mitaine des mages ce sont les mages noirs et il est crucial pour tout mage de savoir se défendre en cas d'attaque. Jusque là un contexte plutôt classique, même si l’idée de baser la magie sur les couleurs me plait beaucoup et me rappelle, de loin, la série Le porteur de lumière de Brent Week.
Il était couvert de sang, les yeux hallucinés, les cheveux en bataille, le teint plus pâle encore que celui de mon frère. Ses jambes le soutenaient à peine. Les ongles de sa main droite étaient plantés dans son biceps gauche. –Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? balbutia Alexandre avant de s’effondrer. Décidément, on ne pouvait plus compter sur la cavalerie.
Le premier point fort de ce premier tome c'est une ambiance très sympa comme Olivier Gay sait les créer : des personnages qui promettent d'être très attachants, on pourrait avoir peur de la caricature mais non. Des perso débrouillards, intelligents et avec leurs problèmes d'ado, sans chercher à en faire trop. Ils manquent peut être encore un peu de profondeur mais je pense que cela sera combler au fur et à mesure des tomes. L'intrigue est posée de manière efficace et transporte tout de suite le lecteur dans son sillage... ce qui arrive à nous frustrer quand on a atteint les dernières lignes ! Et puis j'aime beaucoup la narration à deux voix qui nous donne le point de vue de chaque perso à tour de rôle, toujours très agréable pour densifier une intrigue.
Le second point fort c'est le tempo. Plus l'histoire se met en place, plus l'intrigue prend forme, plus le rythme est soutenu et moins on arrive à lâcher le livre. Magie, combat, humour et mystère : le cocktail idéal pour un page turner efficace !
Famille de tarés. Histoire de fous. Je devrais n’avoir qu’une envie, ne plus jamais revoir cette fille. Elle est malsaine, c’est clair. Pourtant, alors que je remonte l’avenue du Général-Leclerc, les mains dans les poches, je ne pense qu’au moment où nous nous rejoindrons. Je lui ai proposé un verre ce soir et, prise dans l’excitation du moment, elle a accepté.
Au final, une très bonne lecture avec ce premier tome de Le noir est ma couleur : La pari. Un peu court peut être, on a l'impression que l'histoire vient juste de prendre son rythme de croisière quand on arrive "déjà" au dernier chapitre. Mais avant tout un page turner plein d'humour ! Un premier tome qui met bien en place l'histoire et nous laisse avec une seul envie : lire la suite !
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