Je vous l'avais annoncé fin de l'année dernière, le nouveau Peter F. Hamilton est arrivé. Je m'attendais à un tome unique comme pour Manhattan à l'envers (recueil de nouvelles sur l'univers ud Commonwealth) mais La grande route du Nord est en fait un roman en deux parties. Oh joie, Oh bonheur, le pape actuel du Space Opéra est de retour. Nouveaux personnages et nouvel univers : autant dire que mon gnome préféré chez les grands-parents, le mari occupé avec StarWars - Old Republic, moment de pure tranquillité livresque pour moi.
J'ai mis beaucoup de temps à écrire cet article. J'ai beaucoup tourné
autour de ce dernier tome de la saga de la faille sans savoir comment
en parler. Ce n'est pas tout de parler de ce dernier tome, je me sens
obligée de vous présenter Pug et Midkemia, de vous dire à quel point je
trouve l'univers créé par Raymond Feist riche et passionnant.
J'ai commencé la saga avec la naissance de mon fils et en 2 ans j'ai littéralement dévoré les 23 tomes de cette histoire au long court. J'ai adoré voyager sur Midkemia parmi ses peuples, suivre Pug, apprenti puis magicien, dans son initiation sur Kelewan et participer aux aventures de Jimmy les mains vives et de ces descendants de Krondor à Rillanon. J'avoue avoir particulièrement apprécié la manière dont l'auteur arrive à faire vivre ces personnages, à nous les faire aimer en les intégrant de manière ingénieuse et délicate au fur et à mesure de son récit. En 27 tomes, il y a 5 à 6 générations de personnages, certains que l'on regrette de voir partir, mais où l'on a toujours plaisir à découvrir les nouveaux. Midkemia est un monde où se mélange : vie médiévale (l'histoire se passant principalement dans le royaume des Isles, avec ces batailles à l'épée, ses voyages à cheval et ses seigneurs plus ou moins respectables), nations humaines, elfes ou naines, des dragons, et surtout la magie y est présente. Pug est magicien, d'abord apprenti puis Tout-Puissant et enfin créateur conclave des ombres (et oui dans cette ordre), on suit Pug sur plus d'un siècle et demi d’histoire.
Enfin... ce qui avait commencé avec la guerre de la faille se termine. Pas de spoiler sur la fin de ce tome juste une phrase qui m'a marqué "tout est une question de perspective"... hahaha... Tout cette introduction pour dire que ce tome ne déçoit pas, on a des réponses à pas mal de questions même si je regrette que l'histoire ne soit pas plus axées sur celle des elfes des étoiles et que le fin soit très courte, on ne connaitra pas le devenir de beaucoup de personnages. Je dirais que cette fin n'est pas exceptionnelle mais qu'elle apporte une belle conclusion aux aventures de Pug et de Tomas. Cette grande saga de la fantaisie est à lire, le monde de Midkemia reste fascinant et le premier cycle de la guerre de la faille est juste excellent.
Ce dernier tome de la guerre du Chaos, je l'attendais avec tellement d'impatience qu'une fois terminé c'est un peu la déprime. C'est le problème avec les grandes sagas passionnantes, à la fin on a du mal à abandonner le monde dans lequel on nous a plongé. Et surtout, on voudrait tout savoir, avoir le fin mot de toute les intrigues, savoir ce que chaque personnage devient... mais ça malheureusement ça n'arrive jamais !
J'ai commencé la saga avec la naissance de mon fils et en 2 ans j'ai littéralement dévoré les 23 tomes de cette histoire au long court. J'ai adoré voyager sur Midkemia parmi ses peuples, suivre Pug, apprenti puis magicien, dans son initiation sur Kelewan et participer aux aventures de Jimmy les mains vives et de ces descendants de Krondor à Rillanon. J'avoue avoir particulièrement apprécié la manière dont l'auteur arrive à faire vivre ces personnages, à nous les faire aimer en les intégrant de manière ingénieuse et délicate au fur et à mesure de son récit. En 27 tomes, il y a 5 à 6 générations de personnages, certains que l'on regrette de voir partir, mais où l'on a toujours plaisir à découvrir les nouveaux. Midkemia est un monde où se mélange : vie médiévale (l'histoire se passant principalement dans le royaume des Isles, avec ces batailles à l'épée, ses voyages à cheval et ses seigneurs plus ou moins respectables), nations humaines, elfes ou naines, des dragons, et surtout la magie y est présente. Pug est magicien, d'abord apprenti puis Tout-Puissant et enfin créateur conclave des ombres (et oui dans cette ordre), on suit Pug sur plus d'un siècle et demi d’histoire.
Je vous mets la couverture de la version anglaise que je trouve
plus sympa que celle de Bragelonne qui n'est pas très réussie. |
Enfin... ce qui avait commencé avec la guerre de la faille se termine. Pas de spoiler sur la fin de ce tome juste une phrase qui m'a marqué "tout est une question de perspective"... hahaha... Tout cette introduction pour dire que ce tome ne déçoit pas, on a des réponses à pas mal de questions même si je regrette que l'histoire ne soit pas plus axées sur celle des elfes des étoiles et que le fin soit très courte, on ne connaitra pas le devenir de beaucoup de personnages. Je dirais que cette fin n'est pas exceptionnelle mais qu'elle apporte une belle conclusion aux aventures de Pug et de Tomas. Cette grande saga de la fantaisie est à lire, le monde de Midkemia reste fascinant et le premier cycle de la guerre de la faille est juste excellent.
Ce dernier tome de la guerre du Chaos, je l'attendais avec tellement d'impatience qu'une fois terminé c'est un peu la déprime. C'est le problème avec les grandes sagas passionnantes, à la fin on a du mal à abandonner le monde dans lequel on nous a plongé. Et surtout, on voudrait tout savoir, avoir le fin mot de toute les intrigues, savoir ce que chaque personnage devient... mais ça malheureusement ça n'arrive jamais !
Je vous mets tout de même la couverture française de Bragelonne
pour que vous puissiez trouver le bouquin ! |